Ruby

Ces questions n'ont été présentées qu'aux développeurs ayant choisi Ruby comme l'un de leurs trois principaux langages de programmation.

Part de Ruby en tant que langage de programmation principal par pays ou région

Expérience du codage

Les développeurs Ruby sont généralement très expérimentés. Plus de 50 % ont plus de 5 ans d'expérience.

Quels types de logiciels développez-vous avec Ruby ?

Quelles versions de Ruby utilisez-vous le plus ?

35 %

des développeurs Ruby ont adopté Ruby 3.1 cette année. Toutefois, Ruby 2.7 reste la version la plus populaire parmi les participants.

Prévoyez-vous d'adopter une version plus récente de Ruby au cours des 12 prochains mois ? Si oui, laquelle ?

45 %

des développeurs Ruby prévoient de migrer vers Ruby 3.1 au cours de l'année prochaine.

Quels outils utilisez-vous pour gérer les différentes versions de Ruby ?

L'utilisation de RVM par les développeurs Rubya chuté de 10 points de pourcentage depuis l'année dernière.

Quels outils de gestion des gemmes utilisez-vous régulièrement ?

De manière générale, l'utilisation de gemsets par les développeurs Ruby a diminué.

Combien de gemmes avez-vous créées ?

Quels outils ou frameworks de développement web utilisez-vous régulièrement ?

La part du framework Ruby on Rails a augmenté de 8 points de pourcentage depuis l'année dernière. Dans le même temps, la part de Sinatra a diminué de 7 points de pourcentage.

Quelles versions de Rails utilisez-vous ?

44 %

des personnes interrogées utilisent encore Rails 6.0, bien que 27 % préfèrent la version 7.0.

Quels serveurs utilisez-vous régulièrement en production ?

Nous avons vu au cours des 6 dernières années une croissance de l'utilisation de Puma et une baisse progressive de celle des autres serveurs.

Quel éditeur ou IDE utilisez-vous le plus pour le développement en Ruby ?

Malgré toutes les mesures que nous avons prises pour garantir la représentativité des participants, il est possible que les résultats sur-représentent légèrement les utilisateurs de produits JetBrains, qui sont plus enclins à répondre à nos enquêtes.